Gérard Pellet est l’entraîneur du club sportif de Saint-Maurice l’Exil et engagé dans le 128 doubles de Saint-Victor-de-Cessieu.
Gérard, vous avez gagné le 64 doubles TD à Saint-Victor-de-Cessieu l’année dernière, lorgnez-vous sur le 128 cette année?
“Oui, tout à fait! L’année dernière, je n’ai pas pu, pour cause de vacances, m’engager dans le concours phare. Alors j’ai disputé le 64 doté du challenge de mon ami Kiki Thomas. Cette année, j’ai pris mes précautions et j’ai une série dans le 128 avec David Accasto, mon futur coéquipier la saison prochaine.”
Gère-t-on un concours comme celui de Saint-Victor-de-Cessieu à l’image d’un championnat de France?
“Non, ce sont deux choses totalement différentes. Le 128 de Saint-Victor-de-Cessieu reste une très belle compétition avec énormement de monde, des jeux très techniques où on n’est beaucoup plus décontracté. D’ailleurs le jeu s’en ressent, il y a toujours de superbes parties, c’est tout à fait normal, les joueurs ont tendance à plus se lâcher.”
Pensez-vous que ces grosses compétitions estivales soient une bonne préparation pour la saison officielle qui débute en septembre?
“Non, je crois que cela permet à beaucoup de se faire plaisir et d’évoluer avec d’autres joueurs que ceux de son équipe habituelle. D’ailleurs j’ai joué ici avec beaucoup de partenaires différents. Alors on ne peut pas dire que ces concours d’été soient une préparation pour la saison, c’est plutôt une bonne occasion qui nous est offerte de jouer avec les amis.”
